contrat poulet

Bonjour à toutes et tous,

Vous en rêviez et bien cela est fait, le contrat poulet est de retour !

Une nouvelle formule qui ne nous permet pas d’aider un nouvel exploitant mais qui permet aux futurs exploitants de se former.

En effet cette nouvelle exploitation bio se trouve dans un lycée agricole, où les élèves sont les producteurs. C’est bien aussi de commencer à la source !

Je me suis rendue sur ce site où d’une part il y a le lycée, puis à quelques centaines de mètres la ferme et l’exploitation. Une belle ferme en briques, partagées avec un centre équestre, des champs, des machines agricoles, des poulets, des rûches, et monsieur Coppenolle qui est le chef de production de cette ferme.

Vous verrez en pièces jointes le descriptif de cette exploitation et le contrat.

Je serai ce soir à la distribution pour vous rencontrer, et là aussi le 3 septembre pour recueillir vos contrats et chèques.

Sinon vous pouvez me faire parvenir le tout à mon adresse : madame Karine HEURTEUR 11 rue du Vignet 60810 RULLY/ 06 17 88 15 90

Ou Madame Calmard 03 44 53 65 00

Le principe du contrat poulet :

Vous passez commande de x poulets

Vous réglez à l’avance en un ou plusieurs règlements

Vous réglez pour x poulets de 2 kg à 9€60 le kg soit x fois 19.20

Ils vous sont livrés chaque mois, nous relevons le poids

Le dernier mois nous faisons une régularisation :

-tout est juste et c’est plutôt rare…

-ou vous avez eu trop en poids : vous devez de l’argent

-ou vous n’avez pas eu assez en poids : l’exploitant vous doit de l’argent

2 solutions :

-soit la somme due par n’importe quelle partie est reportée sur le prochain contrat.

-Soit la partie concernée rembourse l’autre

Exemple :

Vous avez signé pour 1 poulet par mois

Vous avez payé 6 fois (2x 9.6) 19.60 soit 117.60 pour 12 kg de poulet

Vous avez eu 6 poulets de respectivement : 2kg-2kg3-2kg5-1kg8-2kg-2kg7

soit 13kg3 fois 9.6=127.68 127.68-117.60 vous devez 11.08

au plaisir de vous rencontrer et de vous renseigner !

bien poulettement !

dame Poulet, Karine HEURTEUR

contrat 09-2015.pdf

La Ferme du Lycée Agricole de l.pdf

IMPORTANT ! Nico News – 23 juillet 2015

distribution

  • 1kg de pommes de terre
  • Blettes
  • 700gr d’échalottes

 

Les années se suivent mais ne se ressemblent pas !

Jeudi 16 juillet 2015, je n’ai livré qu’un demi ­panier par manque de légumes. En effet, cette année j’ai perdu 50% des récoltes théoriques : 2 semis de carottes, 2 implantations de concombres, 1 implantation de courgettes, 2 semis de haricots, 450 choux (plants achetés), 1 semi de navet en plein champ, 2 semis de radis en plein champ et les aubergines et les poivrons (plants achetés) que je n’ai même pas repiqué par manque d’eau.

 

Cette année c’est la sécheresse. Pourtant, j’ai investi 2 000€ dans la réalisation de deux forages et 8 000 € dans l’achat de matériel d’irrigation : une citerne de stockage de 67m3, des rampes pour les tunnels, d’autres petites pour l’extérieur et 2 pompes. Il n’y a plus d’eau, ni dans les forages, ni dans la citerne ni même dans le marais voisins ! Les légumes de plein champ ne germent pas et ceux à l’intérieur des tunnels meurent déshydratés. La date des semis de conservation est arrivée (navets, radis noir, carottes) mais rendu impossible par la sécheresse. La terre est trop dure, les outils de travail du sol n’arrivent pas à la travailler. Même si cela était possible, ils ne germeraient pas !

 

Ne soyons pas si négatif !

 

Les premières implantations, faites en mars/avril, comprenant pomme de terre, topinambours et oignons, nous font l’honneur d’un rendement et d’un calibre record. Le premier semi en plein champ, datant du mois de mai, est réussi. Il y a des endives, des betteraves, des panais et des salsifis. Les poireaux et les courges ne se portent pas trop mal étant données les conditions de repiquage au cours des mois de juin/ juillet. Pour leur permettre de reprendre un peu de vivacité, ils monopolisent toute l’irrigation actuelle (utilisation de l’eau du réseau et arrosée à la cuve).

 

Après trois années de travail et d’observation, je peux dire que le climat picard est de plus en plus variable et difficile à anticiper entre surplus d’eau l’année passée et sècheresse en cours. Je ne dispose pas de moyens financiers nécessaires pour à la fois drainer, irriguer, stocker, protéger du froid et aérer pour refroidir. Je ne peux compenser par le travail manuel, les volumes de productions sont trop importants. Plusieurs solutions sont à l’étude. Je ferai un point mi-­août afin de vous présenter la ou les solutions retenues. Les objectifs sont simples : augmenter le nombre de cultures réussies et diminuer le temps de travail manuel.

 

Nicolas

ERRATUM NICO-NEWS : il y a bien distribution de légumes en juillet !

Suite à une erreur de retranscription, la dernière nico-news annonçait l’interruption des distributions des paniers de légumes jusque début Août… cette information est fausse, et il y aura bien distribution des paniers durant le mois de juillet comme prévu dans le contrat.

L’interruption de distribution est celle prévue par le contrat : le 6 et 13 août prochain.

en nous excusant pour cette erreur,

Pascal LAMBERT pour le CA des Paniers de Séraphine

http://lespaniersdeseraphine.wpweb.fr

Nico News – 2 juillet 2015

Distribution

  • 1 botte de blettes
  • 1 botte d’oignons rouges
  • persil
  • 200 gr de Mesclun
  • 1 kg de pommes de terre

Informations

  • Coupure de 15 jours : reprise des distribution début août
  • Si vous récupérez les élastiques des bottes, vous pouvez les redonner à Nico
  • Les 5000 poireaux sont repiqués, il en reste 3000
  • Un jeune Amapin a aidé Nicolas
  • 250 pieds de potimarrons sont en terre depuis mardi
  • Les semis sous serre n’ont rien donné

Nico News – 2 juillet 2015

Distribution

  • 1 botte de blettes
  • 1 botte d’oignons rouges
  • persil
  • 200 gr de Mesclun
  • 1 kg de pommes de terre

Informations

  • Coupure de 15 jours : reprise des distribution début août
  • Si vous récupérez les élastiques des bottes, vous pouvez les redonner à Nico
  • Les 5000 poireaux sont repiqués, il en reste 3000
  • Un jeune Amapin a aidé Nicolas
  • 250 pieds de potimarrons sont en terre depuis mardi
  • Les semis sous serre n’ont rien donné